martedì 12 giugno 2018

La philosophie de la Terre mère appelle


Synthèse résumée, La philosophie de la Terre mère appelle :
  • A avoir Conscience de cette petite terre fragile qui ère dans un coin de l’univers 
  • A ce que l’être humain, ne se considère pas seulement vivre dans la nature, mais en être. A avoir conscience de la vulnérabilité de la planète, et à faire en sorte que ses citoyens, notamment ses décideurs, possèdent une ‘’une prise de terre’’
  • A ne pas confondre Valeur et prix. A sauver d’autres valeurs, que ce qui n’a qu’un intérêt économique chiffrable
  • A remplacer Le système mondial des états nation, par un monde des populations
  • Au  respect, et à l’écoute des anciens
  • A ne plus tolérer  que 5 pays sur les 193 de la planète se partagent le pouvoir à l’ONU par leur droit de véto 
  • A développer notre capacité de comprendre ce que ressent autrui. « L’autre doit être un compagnon de route en humanité. »
  • A construite des ponts et pas des murs
  • La notion de terre mère appelle à faire en sorte, qu’aucun humain ne soit  naturellement assigné à résidence (je me permets ce clin d’œil en direction de nos amis les migrants). Un comble, on a su mettre en place l’organisation mondiale du commerce pour la circulation des finances, mais pas celle des êtres humains.
  • Cette philosophie appelle au développement universel de la Démocratie, dont la  philosophie n’a ni commencement ni terre d’élection. Il nous faut augmenter notre angle vision à un grand angle, ne s’arrêtant pas à la seule philosophie européenne notamment gréco romaine 
  • Partout, elle appelle  à développer la laïcité, « qui n’est pas une opinion, mais la liberté d’en avoir une ». 
  • La notion de terre mère intègre tout naturellement  une Education qui doit amener non pas quoi penser, mais penser par soi-même. Par l’éducation, il faut que l’être humain devienne citoyen compétent, responsable, soucieux du bien commun, de l’altérité, acteur éclairé de la société, capable de bon jugements, avec le souci du collectif, et le respect de toutes les formes de vie. L’aspect éducatif doit être placé au cœur du projet, pour apprendre aux humains de’’ passer du logiciel égo-compétitif au logiciel alter-coopératif ‘’. Je rêve que sur les frontons des écoles soit inscrit : ici il ne s’agit pas d’être premier de la classe, mais d’être tous premiers execo. Et puis, L’éducation de base partout est indispensable, nous mettant à l’abri de l’hyper démographie et de l’obscurantisme. 
  • Cette philosophie appelle à stopper le gaspillage alimentaire, car la moitié de la nourriture mondiale est gaspillée. Alors que 1 milliard de personnes sont victimes de malnutrition, et que la fin du siècle comptera probablement 2,5 milliards de bouches supplémentaires à nourrir, la moitié des denrées alimentaires produites dans le monde est aujourd’hui gaspillée. Entre 30 % et 50 % des 4 milliards de tonnes d’aliments produites chaque année sur la planète (soit entre 1,2 et 2 milliards de tonnes) ne finissent jamais dans une assiette. En Europe et aux Etats-Unis en particulier, jusqu’à la moitié de la nourriture achetée est jetée par les consommateurs eux-mêmes. En cause : des dates de péremption inutilement strictes, des promotions « deux pour le prix d’un », l’exigence des consommateurs occidentaux pour des produits alimentaires esthétiquement parfaits, ainsi que des mauvaises pratiques agricoles, des infrastructures inadaptées, et des lieux de stockage peu performants.. Dans les pays pudiquement appelés en développement, les pertes de nourriture ont lieu au début de la chaîne d’approvisionnement, entre le champ et le marché, du fait de récoltes inefficaces, d’infrastructures de transport locales inadéquates, ou de conditions de stockage inappropriées.
  • La notion de terre mère appelle à stopper des budgets militaires de folie : 40% par les américains, avec 700 milliards de dollars par an, la Chine 200 milliards, le Royaume Uni : 53 milliards, la Russie 50 milliards,  l’Europe 220 milliards dont la France 45 milliards. Et pourtant, nous savons bien, que le meilleur rempart aux conflits est la vraie démocratie, les vraies démocraties n’ayant jamais été des initiatrices de guerres.
  • Cette philosophie intègre aussi la nécessité de gommer les inégalités des populations de notre village terre au regard des soins médicaux. Mourir d’un abcès dentaire pour certains, bénéficier d’une greffe cardiaque pour d’autres

jp Wauquier et ses amis(es) de la commission de Clermont, le 10 juin 2018

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IL FORUM INTERNAZIONALE

A Verona la prima Agorà
degli Abitanti della Terra


Sono previste 200 persone da tutto il mondo. L'incontro veronese si situa nell'ambito della campagna "L'audacia nel nome dell'umanità". L'obiettivo è quello di redigere la Carta dell'Umanità per dare fondamento giuridico all'umanità e a un nuovo soggetto di diritto: l'abitante della Terra.
Tanti i protagonisti e i testimoni.

VERONA - Meno di un mese alla prima Agorà degli abitanti della Terra. Un programma denso di tre giornate che vedrà la partecipazione di circa 200 persone da varie parti del mondo, che da oltre un anno lavorano per la campagna "L’Audacia nel nome dell’Umanità”, lanciata dall’economista italo-belga Riccardo Petrella.
Saranno presenti anche volti noti dell’impegno sociale e culturale, come l’attore Moni Ovadia, il vescovo della Patagonia cilena Luis Infanti de la Mora, il teologo della liberazione latino-americana Marcelo Barros, il filosofo Roberto Mancini, la coordinatrice del Global Justice Network Francine Mestrum, nonché testimoni del Sud, come la mediatrice camerunense Marguerite Lottin, il medico indiano Siddhartha Mukherjee e Isoke Aikpitanyi, che si è liberata dal racket della prostituzione nigeriana e vincitrice del premio Donna dell’anno 2018.

L’evento “Agorà degli abitanti della Terra” è in realtà solo il primo passo di una iniziativa più ampia che ha come obiettivo il riconoscimento dell’Umanità come attore principale nella regolazione politica, sociale ed economica a livello globale. La sfida ambiziosa di stilare la Carta dell’Umanità, si pone come reazione costruttiva alle attuali spinte disgregatrici e divisive, che stanno rapidamente allontanando le persone dal riconoscersi parte della stessa “comunità umana” e dello stesso pianeta. Spinte che hanno portato nel tempo alla mercificazione di ogni forma di vita, alla privatizzazione dei beni comuni, alla monetizzazione della natura e ad un sistema finanziario predatorio, per citarne alcune.
Ecco allora che si è creato un nuovo spazio di dialogo e confronto, dove i gruppi promotori provenienti da Italia, Belgio, Francia, Germania, Portogallo, Spagna, Tunisia, Canada, Cile, Brasile e Argentina, presenteranno i loro lavori e si confronteranno su nuove proposte, in sessioni plenarie e parallele, presso il Monastero del Bene Comune di Sezano, sulle colline veronesi.

L'altro ambito di lavoro di questi giorni veronesi sarà l'istituzione (per il momento simbolica) di una “Carta d'identità mondiale degli abitanti della terra”. I Comuni potranno riconoscere che tutti gli esseri umani, radicati nei loro innumerevoli luoghi di vita sono abitanti di una stessa "comunità di vita” prima di essere cittadini di singoli stati. Finora i Comuni che hanno formalmente aderito sono: San Lorenzo (Argentina), Fumane e Canegrate (Italia), La Marsa (Tunisia), Palau Saverdera (Catalonia) oltre alla rete dei Comuni solidali (Recosol) e l'associazione nazionale dei Comuni virtuosi.

I temi previsti sono le diseguaglianze, l’impoverimento e l’esclusione sociale, il disarmo del sistema finanziario, la messa al bando delle armi, i beni comuni come l’acqua, il ripensare ad una collaborazione tra cittadini e organizzazioni non governative, e nuove visioni sul cammino dell’Umanità in questa fase di transizione.

GL